Theme(s) | Cinéma | |
Language(s) | English | |
Mechanism(s) | Communication | |
Author(s) | Prospero Hall | |
Overall score | 4.1 | |
Editor | Funko |
Ce jeu est conseillé par 1 de nos Bloggers
Ce jeu a été joué et recommandé par Gus & Co, voici son avis :
Alors, par où commencer. Je dois vous dire qu’on a rencontré quelques (petits) soucis lors de nos parties de Rear Window. Mais quand je dis « petits », je suis gentille, parce que ces problèmes ont carrément gâché notre plaisir de jouer. En vrai, on a eu l’impression de perdre notre temps, ce qui est loin d’être l’objectif quand on se met à jouer à un jeu.
Il y a tellement de bons, de meilleurs jeux sur le marché de nos jours. Des jeux qui valent vraiment la peine d’être joués, contrairement à Rear Window.
Le choix des cartes est, disons… (très) limité. Huit cartes pour huit emplacements, ça peut sembler pas mal, mais en fait, c’est un peu la galère. Certaines cartes sont évidentes à placer, mais plus on avance dans la partie, plus ça devient tarabiscoté et compliqué.
Je fois l’avouer, gagner à Rear Window, ensemble, en mode coopératif, est très, très compliqué. Sauf quand on campe Hitchcock et qu’on essaie de camoufler un meurtre, en mode semi-coop. Dans ce cas, c’est tout à fait possible de remporter la partie, en noyant (encore plus) le poisson. Sinon, on passe la partie à poser des cartes au petit bonheur la chance avec le risque de faire du grand n’importe quoi. Bonne chance pour déduire des images à partir de là ! Rear Window finit par devenir très, très approximatif.
« Beauty is in the eye of the beholder. » La beauté est dans l’œil de la personne qui regarde (c’est le cas de le dire dans Rear Window). Cette expression souligne la diversité et la richesse de nos perceptions. Elle nous rappelle que nous avons tous une vision unique du monde et que chacun de nous peut trouver la beauté dans des choses différentes. Elle nous invite à célébrer nos différences et à apprécier la beauté qui nous entoure, même si elle ne correspond pas à une norme préétablie. En fin de compte, c’est la diversité de nos points de vue qui rend le monde plus coloré et plus intéressant ! Soit.
Et puis, il y a ces cartes… franchement, elles ne sont pas très jolies. Je sais, je sais, « la beauté est dans l’œil de celui qui regarde », tout ça. Cette expression souligne la diversité et la richesse de nos perceptions. Elle nous rappelle que nous avons tous une vision unique du monde et que chacun de nous peut trouver la beauté dans des choses différentes. Elle nous invite à célébrer nos différences et à apprécier la beauté qui nous entoure, même si elle ne correspond pas à une norme préétablie. En fin de compte, c’est la diversité de nos points de vue qui rend le monde plus coloré et plus intéressant ! Soit
Mais là, on dirait qu’elles ont été dessinées par un enfant de 8 ans (et je m’excuse auprès des enfants de 8 ans). En fait, l’ensemble du jeu est aussi laid qu’un épisode de « L’Île de la tentation » en noir et blanc. C’est dommage, parce que ça gâche vraiment le plaisir de jouer.
Les indices sont vagues, approximatifs, et les couleurs sont sombres ternes, rien qui ne donne très envie d’y (re)(re)(re)jouer. Une direction artistique assumée, pourquoi pas. Mais dans Rear Window, rarement des illustrations de jeu n’auront été aussi laides ! Ce qui finit, en tout cas pour notre groupe, de gâcher sérieusement le plaisir du jeu.
Enfin, Rear Window est basé sur une mécanique qui rappelle un peu Mastermind. Mais en moins bien. Le réalisateur ne te dit qu’à peu près combien de bonnes réponses tu as. Tu ne sais pas lesquelles sont bonnes, lesquelles sont mauvaises, lesquelles sont bien placées… C’est un peu comme tâtonner dans le noir, sans aucune indication. Et si tu as le malheur de douter ou de soupçonner un peu trop, tu perds ton tour, tu perds ton temps.
Il devient donc extrêmement difficile de se fier à cette information et de l’exploiter. On tâtonne. On change ceci, cela, pour essayer, puis soudain la partie s’achève. D’autant que le doute, la suspicion plane. Meurtre, et donc bluff, ou pas ?
Rear Window, verdict :
Finalement, je dois avouer que Rear Window est un jeu qui présente un bon nombre de défauts. Entre la limitation des choix de cartes et la difficulté de la déduction, il y a peu de place pour le plaisir de jouer. Je dois l’avouer, j’ai été plutôt déçue. Premièrement, le rôle du réalisateur dans le jeu est vraiment limité et frustrant. C’est dommage parce que cela aurait pu être vraiment cool.
Ensuite, le jeu n’est pas fidèle au film du tout. Je veux dire, on s’attendrait à ce que le jeu suive le scénario du film, mais ce n’était pas du tout le cas. C’est vraiment décevant car je suis sûre que beaucoup de fans du film ont été déçus. Moi la première.
De plus, esthétiquement parlant, les cartes laissent à désirer et les indices manquent cruellement de précision. Certes, la mécanique du jeu peut évoquer le Mastermind, mais sans la précision nécessaire pour être efficace.
Et enfin, le pire pour moi, c’est que le jeu manque vraiment de rejouabilité et d’intérêt. Une fois la partie finie une fois, je n’ai pas eu envie d’y jouer à nouveau.
Bref, je dois avouer que Rear Window n’a pas réussi à satisfaire nos attentes. C’est beaucoup de temps perdu pour peu de plaisir. Heureusement, il y a bien d’autres jeux sur le marché qui sont bien plus fun et qui méritent notre attention.
Bof bof.
Ce jeu est conseillé par 1 de nos Clients
Gautier P. le 08/01/23 Achat vérifié
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