Langue(s) | Français | |
Mécanisme(s) | Communication, Rôles, Mémoire, Scénario | |
Création | Corentin Lebrat, Boris Courtot, Julien Prothière | |
Illustrations | Jérémie Chiavelli | |
Note globale | 4 | |
Éditeur | Zazimut | |
Contenu |
|
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Livret de scénarios
Ce jeu est conseillé par 4 de nos Blogueurs
Ce jeu a été joué et recommandé par Gus & Co, voici son avis :
Ronchonchon, un petit jeu familial qui parle des émotions. Subtil et savoureux.
Je suis…
Je suis…
Je suis ronchonchon, terme affectueux et familier et qui évoque un certain partage d’humeur. En effet, ronchonner, selon le Larousse, c’est murmurer des paroles manifestant la mauvaise humeur ou le mécontentement. C’est comme bougonner, grogner, grommeler, maugréer, râler. C’est le moment où ceux qui nous entourent ont la sensation que quelque chose ne va pas, sans vraiment bien comprendre pourquoi.
Et ça tombe bien, parce que dans Ronchonchon, on va parler des émotions. Un thème qui commence à émerger dans les jeux modernes, surtout ceux destinés à développer, sous forme d’expérience ludique, nos compétences psycho-sociales et notamment l’empathie. On pense bien évidemment à Feelings, le précurseur, et sa belle palette d’émotions.
Ronchonchon se concentre sur quatre émotions : la peur, la tristesse, la colère et la honte. Les trois premières font partie des émotions dites « primaires » ou « fondamentales » auxquelles peuvent s’ajouter la joie, le dégoût, la surprise. Ces émotions « primaires » sont des sortes de facteurs de survie, des réactions nous permettant de nous protéger du danger. La honte, elle, est une émotion « complexe ». C’est un mélange de plusieurs émotions dont la tristesse et la peur. Elle ne peut se dissocier du regard des autres. Elle est donc plus délicate à assimiler dans un jeu s’adressant à des enfants à partir de 6 ans.
Et pourquoi les émotions, c’est important ? Parce que repérer, identifier, nommer l’émotion que l’on ressent, c’est d’abord apprendre à se connaître soi-même.
Mais ce n’est pas tout.
Repérer, identifier, nommer l’émotion de l’autre, c’est d’aussi apprendre à connaître l’autre personne, sans se confondre avec elle, et c’est donc développer son empathie.
Mais ce n’est pas tout.
Reconnaître son émotion, celle de l’autre, c’est une première étape. Car l’émotion est un signal, le signal d’un besoin à satisfaire. Et là on parle bien du besoin, pas d’une envie. L’envie est en réalité une stratégie pour satisfaire son besoin. Ronchonchon fait la part belle à ce qu’on appelle l’intelligence émotionnelle.
Dans Ronchonchon, il va donc falloir identifier un besoin caché derrière une émotion. Le jeu propose là encore quatre possibilités : le besoin de justice, le besoin de respect, le besoin de sécurité et le besoin d’écoute. Évidemment, il en existe beaucoup d’autres. Le champ des besoins est un vaste terrain d’exploration.
Le jeu accorde autant d’importance à l’émotion qu’au besoin. Une démarche constructive ! Qui sanctuarise la reconnaissance d’un besoin pour identifier, et soulager, l’émotion qui l’a suscitée. Dans Ronchonchon, on va alors devoir choisir l’un et l’autre, besoin et émotion, au regard de la situation décrite dans le scénario et les autres. Tout en évitant l’avancée du spleen.
Ronchonchon est un jeu coopératif dans lequel on s’efforce de comprendre son colocataire et de répondre à son besoin avant que le spleen ne pénètre dans la maison.
Le Spleen, c’est ce personnage qui fait le tour de la maison et qui s’approche, plus ou moins vite, de la porte d’entrée à chaque fois que l’on se trompe, et qui recule lorsque l’émotion et le besoin sont reconnus.
Le Spleen dans Ronchonchon, et dans la vraie vie aussi, renvoie à un état désagréable qui viendrait pourrir l’ambiance de la colocation si l’émotion et le besoin du personnage n’étaient pas pris en considération et qui feraient ainsi perdre la partie !
Dans Ronchonchon, on incarne des coloc vivant dans un lieu plutôt sympatoche avec une salle dédiée à la musique, au dessin, au jeu : le rêve de tout ludiste !
Le jeu avec un scénario. Il en existe six pour chacun des six personnages. C’est la ou le joueur prêt à être d’humeur « ronchonchonne » qui devient le maître du jeu en charge de la lecture du scénario le concernant.
Dans Ronchonchon, tous les scenarii se décomposent de la même manière. Le but étant à différentes étapes de retrouver parmi les jetons disposés face cachée sur le plateau, deux jetons identiques.
Quel que soit l’histoire, c’est toujours la même rengaine. La mécanique est ritualisée, de quoi offrir de bons repères aux plus jeunes.
La dénomination des jetons fait écho aux phases clés de l’évolution d’une situation de résolution de conflit. Le jeu s’ouvre sur l’idée d’un dialogue, à la manière de la technique du « message clair », en passant par l’expression de l’émotion et du besoin du personnage. S’ils sont reconnus, on passera alors d’une émotion dite « désagréable » à une émotion dite « agréable ». Vient ensuite l’idée ingénieuse et créative des coloc qui permettra de sortir cette situation de conflit.
Alors oui, clairement on est en présence d’un outil de gestion de conflits. Et pour la petite histoire, le jeu est né dans une école, grâce aux élèves créatifs et à leur enseignante de l’école du Colibri aux Amanins, et bien accompagnés par l’association ZAZIMUT.
Ronchonchon, pourquoi c’est bien ? Parce que Ronchonchon n’est pas seulement un outil, un « jeu éducatif ». C’est un véritable jeu où la mécanique vient s’accorder avec le thème. Sur l’échelle de l’ITHEM, le jeu se place à 4 sur 5.
À partir de l’idée originale des enfants, c’est une belle équipe d’auteurs qui vient apporter le bon équilibre au jeu. On retrouve Boris Courtot, Corentin Lebrat (Draftosaurus, Trek 12, Super Cats, Fou fou fou, Oh mon château…), Julien Prothière (Kosmopoli:t, La marche du crabe, Roméo et Juliette…) aux commandes.
Petits plus, les scenarii intègrent des jetons Pouvoirs et au fur et à mesure des aventures, de nouveaux jetons s’ajoutent. Un peu comme un jeu évolutif, mais dans lequel le matériel est disponible dès le début et sélectionné en fonction du scénario choisi.
Le mélange des mécaniques « chasse au trésor » et « memory » à la sauce coopérative est très savoureux. Les paires de jetons sont à retrouver parmi ceux dispersés à raison de trois dans chaque pièce de la maison. Cela nécessite de se coordonner pour trouver les bons éléments. Cela nécessite aussi une bonne communication.
Et on ne le répètera jamais assez : communiquer, il n’y a rien de mieux pour résoudre les problèmes. Pour se sentir compris et comprendre l’autre. Et voici comment pratiquer la communication de manière ludique : la personne dont c’est le tour improvise une petite histoire pour marquer les esprits avant de reposer le jeton révélé où il le souhaite, face cachée, dans la pièce : « Je place le jeton Dialogue autour de la table, car c’est pendant les repas qu’on discute le plus »… Ce n’est pas sans rappeler le jeu Farben, un jeu épuré un peu passé sous les radars mais qu’on aime beaucoup chez Gus&Co ️.
Deux petits bémols. Sur quelques scenarii, le choix de l’émotion par la personne ronchonchon est un peu trop dirigé. Difficile par exemple de dire que Pagaille, la dresseuse de mouche ressent autre chose que de la colère quand le texte la décrit comme « agacée ». Heureusement, ce n’est pas le cas de tous les personnages. Dans la majorité des cas, on peut hésiter et se rendre compte que tout le monde peut réagir différemment. C’est à ce moment-là aussi qu’on développe notre empathie.
Puis, cela peut sembler accessoire, mais lorsque l’on joue à 6, les déplacements deviennent presque superflus. En effet, on parcoure la maison à la recherche des bons jetons et la personne dont c’est le tour peut retourner un jeton dans toutes les pièces où se trouve un personnage. À 3, cela nécessite un peu de coordination pour la fouille. À 6 toutefois, on occupe rapidement un bon nombre de pièces de la maison. Ce qui fausse quelque peu le jeu, comparé aux autres configurations.
Ronchonchon propose un matériel simple et coloré, illustré par de Jérémie Chiavelli avec un univers amusant et bon enfant.
Quelques frustrations avec le plateau qui peine à s’aplatir, et surtout avec les socles en carton sur lesquels reposent les personnages qui ont tendance à se faire la malle à chaque déplacement. Mieux vaut se déplacer en mode glissade en chaussettes sur le parquet que de voir le socle se carapater dès qu’on soulève le pion. De quoi finir par énerver autant les petits que les grands !
Ronchonchon est un bon jeu coopératif, familial, au format mini. Il aborde et manie les thèmes des émotions, des besoins et de la communication, avec justesse et de manière parfaitement ludique. Il s’agit d’un objet éducatif, certes, mais pas seulement. On y prend un malin plaisir à y jouer.
Plus que sympathique, surtout empathique !
Ce jeu a été joué et recommandé par Gus & Co, voici son avis :
Ronchonchon, un petit jeu familial qui parle des émotions. Subtil et savoureux.
Je suis…
Je suis…
Je suis ronchonchon, terme affectueux et familier et qui évoque un certain partage d’humeur. En effet, ronchonner, selon le Larousse, c’est murmurer des paroles manifestant la mauvaise humeur ou le mécontentement. C’est comme bougonner, grogner, grommeler, maugréer, râler. C’est le moment où ceux qui nous entourent ont la sensation que quelque chose ne va pas, sans vraiment bien comprendre pourquoi.
Et ça tombe bien, parce que dans Ronchonchon, on va parler des émotions. Un thème qui commence à émerger dans les jeux modernes, surtout ceux destinés à développer, sous forme d’expérience ludique, nos compétences psycho-sociales et notamment l’empathie. On pense bien évidemment à Feelings, le précurseur, et sa belle palette d’émotions.
Ronchonchon se concentre sur quatre émotions : la peur, la tristesse, la colère et la honte. Les trois premières font partie des émotions dites « primaires » ou « fondamentales » auxquelles peuvent s’ajouter la joie, le dégoût, la surprise. Ces émotions « primaires » sont des sortes de facteurs de survie, des réactions nous permettant de nous protéger du danger. La honte, elle, est une émotion « complexe ». C’est un mélange de plusieurs émotions dont la tristesse et la peur. Elle ne peut se dissocier du regard des autres. Elle est donc plus délicate à assimiler dans un jeu s’adressant à des enfants à partir de 6 ans.
Et pourquoi les émotions, c’est important ? Parce que repérer, identifier, nommer l’émotion que l’on ressent, c’est d’abord apprendre à se connaître soi-même.
Mais ce n’est pas tout.
Repérer, identifier, nommer l’émotion de l’autre, c’est d’aussi apprendre à connaître l’autre personne, sans se confondre avec elle, et c’est donc développer son empathie.
Mais ce n’est pas tout.
Reconnaître son émotion, celle de l’autre, c’est une première étape. Car l’émotion est un signal, le signal d’un besoin à satisfaire. Et là on parle bien du besoin, pas d’une envie. L’envie est en réalité une stratégie pour satisfaire son besoin. Ronchonchon fait la part belle à ce qu’on appelle l’intelligence émotionnelle.
Dans Ronchonchon, il va donc falloir identifier un besoin caché derrière une émotion. Le jeu propose là encore quatre possibilités : le besoin de justice, le besoin de respect, le besoin de sécurité et le besoin d’écoute. Évidemment, il en existe beaucoup d’autres. Le champ des besoins est un vaste terrain d’exploration.
Le jeu accorde autant d’importance à l’émotion qu’au besoin. Une démarche constructive ! Qui sanctuarise la reconnaissance d’un besoin pour identifier, et soulager, l’émotion qui l’a suscitée. Dans Ronchonchon, on va alors devoir choisir l’un et l’autre, besoin et émotion, au regard de la situation décrite dans le scénario et les autres. Tout en évitant l’avancée du spleen.
Ronchonchon est un jeu coopératif dans lequel on s’efforce de comprendre son colocataire et de répondre à son besoin avant que le spleen ne pénètre dans la maison.
Le Spleen, c’est ce personnage qui fait le tour de la maison et qui s’approche, plus ou moins vite, de la porte d’entrée à chaque fois que l’on se trompe, et qui recule lorsque l’émotion et le besoin sont reconnus.
Le Spleen dans Ronchonchon, et dans la vraie vie aussi, renvoie à un état désagréable qui viendrait pourrir l’ambiance de la colocation si l’émotion et le besoin du personnage n’étaient pas pris en considération et qui feraient ainsi perdre la partie !
Dans Ronchonchon, on incarne des coloc vivant dans un lieu plutôt sympatoche avec une salle dédiée à la musique, au dessin, au jeu : le rêve de tout ludiste !
Le jeu avec un scénario. Il en existe six pour chacun des six personnages. C’est la ou le joueur prêt à être d’humeur « ronchonchonne » qui devient le maître du jeu en charge de la lecture du scénario le concernant.
Dans Ronchonchon, tous les scenarii se décomposent de la même manière. Le but étant à différentes étapes de retrouver parmi les jetons disposés face cachée sur le plateau, deux jetons identiques.
Quel que soit l’histoire, c’est toujours la même rengaine. La mécanique est ritualisée, de quoi offrir de bons repères aux plus jeunes.
La dénomination des jetons fait écho aux phases clés de l’évolution d’une situation de résolution de conflit. Le jeu s’ouvre sur l’idée d’un dialogue, à la manière de la technique du « message clair », en passant par l’expression de l’émotion et du besoin du personnage. S’ils sont reconnus, on passera alors d’une émotion dite « désagréable » à une émotion dite « agréable ». Vient ensuite l’idée ingénieuse et créative des coloc qui permettra de sortir cette situation de conflit.
Alors oui, clairement on est en présence d’un outil de gestion de conflits. Et pour la petite histoire, le jeu est né dans une école, grâce aux élèves créatifs et à leur enseignante de l’école du Colibri aux Amanins, et bien accompagnés par l’association ZAZIMUT.
Ronchonchon, pourquoi c’est bien ? Parce que Ronchonchon n’est pas seulement un outil, un « jeu éducatif ». C’est un véritable jeu où la mécanique vient s’accorder avec le thème. Sur l’échelle de l’ITHEM, le jeu se place à 4 sur 5.
À partir de l’idée originale des enfants, c’est une belle équipe d’auteurs qui vient apporter le bon équilibre au jeu. On retrouve Boris Courtot, Corentin Lebrat (Draftosaurus, Trek 12, Super Cats, Fou fou fou, Oh mon château…), Julien Prothière (Kosmopoli:t, La marche du crabe, Roméo et Juliette…) aux commandes.
Petits plus, les scenarii intègrent des jetons Pouvoirs et au fur et à mesure des aventures, de nouveaux jetons s’ajoutent. Un peu comme un jeu évolutif, mais dans lequel le matériel est disponible dès le début et sélectionné en fonction du scénario choisi.
Le mélange des mécaniques « chasse au trésor » et « memory » à la sauce coopérative est très savoureux. Les paires de jetons sont à retrouver parmi ceux dispersés à raison de trois dans chaque pièce de la maison. Cela nécessite de se coordonner pour trouver les bons éléments. Cela nécessite aussi une bonne communication.
Et on ne le répètera jamais assez : communiquer, il n’y a rien de mieux pour résoudre les problèmes. Pour se sentir compris et comprendre l’autre. Et voici comment pratiquer la communication de manière ludique : la personne dont c’est le tour improvise une petite histoire pour marquer les esprits avant de reposer le jeton révélé où il le souhaite, face cachée, dans la pièce : « Je place le jeton Dialogue autour de la table, car c’est pendant les repas qu’on discute le plus »… Ce n’est pas sans rappeler le jeu Farben, un jeu épuré un peu passé sous les radars mais qu’on aime beaucoup chez Gus&Co ️.
Deux petits bémols. Sur quelques scenarii, le choix de l’émotion par la personne ronchonchon est un peu trop dirigé. Difficile par exemple de dire que Pagaille, la dresseuse de mouche ressent autre chose que de la colère quand le texte la décrit comme « agacée ». Heureusement, ce n’est pas le cas de tous les personnages. Dans la majorité des cas, on peut hésiter et se rendre compte que tout le monde peut réagir différemment. C’est à ce moment-là aussi qu’on développe notre empathie.
Puis, cela peut sembler accessoire, mais lorsque l’on joue à 6, les déplacements deviennent presque superflus. En effet, on parcoure la maison à la recherche des bons jetons et la personne dont c’est le tour peut retourner un jeton dans toutes les pièces où se trouve un personnage. À 3, cela nécessite un peu de coordination pour la fouille. À 6 toutefois, on occupe rapidement un bon nombre de pièces de la maison. Ce qui fausse quelque peu le jeu, comparé aux autres configurations.
Ronchonchon propose un matériel simple et coloré, illustré par de Jérémie Chiavelli avec un univers amusant et bon enfant.
Quelques frustrations avec le plateau qui peine à s’aplatir, et surtout avec les socles en carton sur lesquels reposent les personnages qui ont tendance à se faire la malle à chaque déplacement. Mieux vaut se déplacer en mode glissade en chaussettes sur le parquet que de voir le socle se carapater dès qu’on soulève le pion. De quoi finir par énerver autant les petits que les grands !
Ronchonchon est un bon jeu coopératif, familial, au format mini. Il aborde et manie les thèmes des émotions, des besoins et de la communication, avec justesse et de manière parfaitement ludique. Il s’agit d’un objet éducatif, certes, mais pas seulement. On y prend un malin plaisir à y jouer.
Plus que sympathique, surtout empathique !
Ce jeu a été joué et recommandé par Les Jeux En Folie Bordeaux, voici son avis :
Ronchonchon est un jeu coopératif narratif alliant le mémory et les concepts des émotions et des besoins d’autrui.
Le narrateur, en plus de lire le scénario, va pouvoir jouer comme les autres.
Tout se passe dans une maison. Un de vos colocataires n’est pas dans son assiette. Il va falloir l’écouter et coopérer pour trouver une solution à son problème avant qu’il ne rende tout le monde ronchonchon.
Des petits jetons sont placés face cachée sur le plateau, dans les différentes pièces de la maison.
Chacun son tour, on va pouvoir déplacer notre personnage dans une pièce adjacente à la nôtre puis retourner 2 jetons se trouvant dans des pièces occupées par un personnage.
Si ce sont les jetons demandé dans le scénario, bravo, on peut passer à la suite de l’histoire, sinon, on avance le Spleen d’1 ou 2 cases c’est au joueur suivant de jouer.
Attention Il faut trouver tous les jetons demandés avant que le Spleen n’arrive à la fin de sa piste et ne rentre dans la maison ! Il faudra aussi trouvée l’émotion ressentie par le personnage narratif et son besoin.
Nous y avons joué avec notre fille de 4 ans et demi. Elle aime beaucoup et demande à faire un autre scénario à la fin de la partie !
Bien sûr nous adaptons le jeu, surtout au niveau des besoins que je trouve dur à identifier à son âge (justice, respect, écoute et sécurité).
Et le thème des « colocataires », est ce bien adapté pour l’âge?
En revanche pour les émotions c’est top !
Un jeu agréable à jouer avec vos enfants. Il y a 24 scénarios. Même si le jeu reste le même, ils nous plongent dans une nouvelle histoire à chaque partie.
Ce jeu a été joué et recommandé par Ludigaume, voici son avis :
Ronchonchon nous emmène à la découverte des émotions et des besoins qui permettent d'aller mieux.
C'est une jolie boîte qui contient un matériel de qualité et un univers digne du film Vice-Versa qui traite un peu du même sujet. Le petit livret de scénarios est bien pensé et adapté aux enfants par sa taille. C'est une petite attention que l'on apprécie. Et cela pourra même servir d'exercice déguisé de lecture.
Le jeu est basé sur une mécanique connue, la mémoire mais pas que. Il y a un petit plus par le fait de pouvoir reposer les jetons où l'on veut dans la pièce et ainsi utiliser les éléments du décor pour les associer à une idée, une situation qui permettra de mieux s'en rappeler.
...
C'est un Super pour Ronchonchon. La boîte qui nous offre plus qu'un jeu sans pour autant devenir lourd. Une petite pépite pleine de bonheur derrière des situations pleine de Spleen, de mélancolie mais que l'on arrivera à apaiser.
L'avis complet sur Mon Petit LudiGaume : http://monpetit.ludigaume.be/jeu-Ronchonchon
Ce jeu est conseillé par 1 de nos Clients
frédéric o. le 03/03/21 Achat vérifié
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