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Naishi
Avis : Naishi est un jeu stratégique se jouant exclusivement en duel pour déterminer qui constituera le meilleur tableau de 10 cartes. Naishi … moi perso, ça ne me disait rien. C’est quoi Naishi? Une...
5/5
Naishi
Avis : Naishi est un jeu stratégique se jouant exclusivement en duel pour déterminer qui constituera le meilleur tableau de 10 cartes. Naishi … moi perso, ça ne me disait rien. C’est quoi Naishi? Une tradition? Un symbole? Plus que ça, les Naishi étaient plus que ça, des femmes issues souvent de familles nobles dans le Japon féodal, responsable de tâches sacrées. Souvent choisies par l’empereur, elles avaient une influence majeure au sein de l’empire. Et le jeu alors? Naishi propose un une dualité facile à jouer (plus difficile à maitriser). Face à nous : une rivière de 5 paquets de cartes. En Main : 5 cartes. En face de chacun : 5 cartes Montagne. Chaque carte, chaque paquet, chaque choix seront déterminés par les placements initiaux de ces cartes. C’est là toute la force et la particularité du gameplay, car chaque choix pour interchanger ses cartes DOIT être placé dans la même position! Chacun son tour, on prend une carte face visible de la rivière pour la placer dans notre jeu (face à nous ou dans notre main) en respectant donc sa position. L’autre carte est simplement défaussée. Un plateau intervient pour moduler un peu cela : défausser 2 cartes visibles de la rivière, échanger la position de 2 cartes ou encore : échanger une carte avec l’adversaire. Toujours optionnel, et nécessitant l’utilisation d’un de nos 2 jetons, leurs utilisations sont hautement stratégiques. Les récupérer nous oblige à sacrifier un tour de jeu, tandis que l’échange de carte avec l’adversaire est un vrai sacrifice (le jeton n’est pas récupérable). 2 piles vides mets fin à la partie. Sinon, dès qu’une pile est vide, un joueur peut déclarer que son jeu est suffisant pour l’emporter, laissant par la même occasion un tour de jeu supplémentaire pour l’autre joueur selon l’ordre du tour. On combine alors nos 5 cartes en main avec les 5 cartes face à nous (toujours sans en changer les positions) pour scorer selon leurs particularités. ❤️❤️❤️❤️❤️ Quelques cartes, un petit plateau et 4 jetons, le jeu semble minimaliste et pourtant il est hautement stratégique. Les plus joueurs auront vite saisi la combinaison ultime en réunissant dans la position parfaite une carte de chaque faction du jeu . Il faudra alors tout tenter pour certes s’avantager, mais aussi déjouer les scoring adverses. Il faut rester alerte sur la position des cartes adverses, et user au bon moment des émissaires, notamment pour échanger une carte adverse. L’utilisation des émissaires est crucial, leur timing probablement décisif. L’originalité ne vient pas des scorings de chaque faction et la constitution de tableau, mais réellement de cette contrainte du placement fixe des cartes. C’est autant frustrant que ça en est brillant. Thématiquement, chaque faction avec son illustration est parfaitement intégrée avec son placement de prédilection (étendard en premier ligne, les forts dans les angles, les moines à coté des toris …). Un pur plaisir au delà du gameplay. Petit jeu, grande claque stratégique.
Stickers
Avis : Stickers est un jeu familial de collection de cartes et de majorité dans un univers kawai. Le gameplay est simple, les illustrations supers choupies mais si le jeu est déjà super en mode « arcade...
5/5
Stickers
Avis : Stickers est un jeu familial de collection de cartes et de majorité dans un univers kawai. Le gameplay est simple, les illustrations supers choupies mais si le jeu est déjà super en mode « arcade », il se savoure d’abord en mode évolutif. A son tour, on pioche une carte d’une rivière. Puis, on vient jouer 1 ou plusieurs cartes d’une même famille/couleur (parmi 9) face à soit. Selon le nombre de cartes ainsi jouées : un effet Combo se déclenche comme prendre 2 cartes de la rivière par exemple ou encore interchanger les jetons familles. Car chaque famille va plus ou moins scorer selon son emplacement dans la pyramide des raretés. Tout l’intérêt sera donc d’avoir des collections majoritaires (ou à défaut valant pour la seconde place) pour marquer les PV respectifs. Mais l’ordre des cartes jouées est aussi important. Car en laissant visible une carte avec des stickers bonus, on les déclenchera automatiquement (pioche d’une carte à jouer immédiatement, deviner une carte adverse …). Mais le top du top c’est que le jeu est évolutif. Entendez par là que chaque partie aura son vainqueur certes, mais aussi un booster unique à ouvrir! Parfois pour ajouter et peaufiner les règles de jeu, ajouter des subtilités de gameplay, pour ajouter ces fameux stickers bonus ... mais aussi (et surtout) pour customiser notre jeu avec des stickers cosmétiques ! Chaque booster propose des stickers dans l’univers d’une famille, de la souris spationaute au lapin magicien en passant (évidemment) par le Geekosaur et ses clins d’oeil au jeux vidéos rétros. Stickers c’est notre plaisir coupable du moment. C’est simple, rapide, au gampelay épuré sans pour autant manquer de moment de prise de décision stratégique grâce à l’évolution constante des scores potentielles de chacune de famille. Quelques PV bonus par ci, des stickers à activer par … sans oublier les combos selon le nombre de cartes jouées … il y a quand même quelques choix a faire! Le côté évolutif est totalement addictif et le plaisir d’ouvrir des boosters et d’apposer des stickers finiront de faire fondre les plus jeunes, et ravivera des souvenirs nostalgiques des plus grands. Et chose plutôt rare pour les jeux « évolutifs », on est certains de ressortir le jeu une fois l’intégralité des ajouts découvert, tellement le jeu se suffit à lui même. Un très très bon jeu familial. Perso, je l’offrirai aux familles autour de moi pour faire découvrir la mécanique de collection et de majorité, j’suis convaincu que le côté évolutif leur mettra des étoiles dans les yeux.
Fast Blast
Avis : Pour les joueurs occasionnels n’ayant pas encore succombés aux délices des boutiques spécialisées, chaines Youtube dédiées et comptes ludiques consacrés à notre passion, certains jeux arrivent en...
5/5
Fast Blast
Avis : Pour les joueurs occasionnels n’ayant pas encore succombés aux délices des boutiques spécialisées, chaines Youtube dédiées et comptes ludiques consacrés à notre passion, certains jeux arrivent en tête des jeux casus : Monopoly évidemment, Cluedo pour certains … mais s’il en est un qui ne fait pas trop débat et auquel tous le monde à jouer, c’est le bien UNO. C’est parfait ça ! Comme ça : 1/ je ne vais pas vous pitcher les subtilités du gameplay de base (jeu de défausse, on pose une carte de même couleur ou même chiffre …) et 2/ vous savez « presque » déjà jouer a FAST BLAST. FAST BLAST revient donc sur les grand principes du Uno, à quelques différence près. La première, PAS de tour de jeu! On joue dès qu’on peut (ou qu’on veut hehe????) en n’oubliant pas de faire en sorte d’avoir toujours 4 cartes face à nous, prête à être dégainer. Deuxièmement, on prêtera attention aux cartes spéciales qui a la manière des fameux +4 vont nous donner quelques sueurs. Une fois jouées, on décompte les joueurs dans l’ordre du tour selon le chiffre joué à la façon d’un « plouf plouf » (j’avais pas d’autres comparaison????) pour désigner le perdant. A moins qu’il échappe à cette sentence en jouant lui même une carte spéciale … Le premier à se défausser de ses 20 cartes gagne immédiatement la partie Fast Blast c’est clairement la version survitaminée du UNO. La promesse d’un jeu dynamique et frénétique est largement tenue. Et finalement, on apprécie même quand les cartes spéciales arrivent pour faire redescendre la pression. Petite astuce pour les plus joueurs : jouer par opportunisme et de manière frénétique n’est pas forcément gage de victoire. Analyser les cartes en jeu adverse pour tenter de les bloquer avec des chiffres ou des couleurs non exploitables les feront rager, là où on jouerait tranquillement ses propres cartes une à une.
Shackleton Base: A Journey to the Moon
Avis : Shackleton Base est un jeu expert compétitif de pose d’ouvriers qui propose de prendre part dans l’exploitation du cratère du pôle sud de la Lune. Chaque joueur dirige une agence spatiale tout en...
5/5
Shackleton Base: A Journey to the Moon
Avis : Shackleton Base est un jeu expert compétitif de pose d’ouvriers qui propose de prendre part dans l’exploitation du cratère du pôle sud de la Lune. Chaque joueur dirige une agence spatiale tout en profitant aussi du travail des autres agence pour étendre la présence de l’homme sur la Lune, mais aussi en tentant de satisfaire les 3 Corporations différentes mises en place à chaque partie, chacune ayant un gameplay et des objectifs bien distincts. Parlons de ces Corporations. Au nombre de 7, mais seulement 3 en jeu, on a le loisir de respecter des « scénarios » selon la difficulté de jeu qu’on souhaite, tout comme les choisir au hasard. Si les premières octroient facilement des PV et Bonus, les autres proposeront des challenges moins directs sans dénaturer le plaisir d’optimisation. Et on n’en attendait pas moins des auteurs de Darwin’s Journey et Merv : arriver à nos fins par des chemins de traverse, glanant au passage divers bonus et la possibilité de déployer nos bâtiments. Car on parle de placements d’ouvriers, ici des astronautes, 6 à placer dans chacune des 3 manches pour 18 actions au total donc. Ces astronautes seront de 3 couleurs différentes pour des actions à déclencher tout aussi différentes! Autant sur l’exploitation du cratère que pour leur rôles dans notre base, à coup de réduction de cout de réparation de nos structures construites, de ressources supplémentaires pour la prochaine manche tout comme des PV de fin de partie. Plus on libera de l’espace dans notre base, et plus on pourra en accueillir. Et ceux ci dépendront de tuiles « Navettes » de début de manche. En plus de moduler la couleur des ouvriers, elles définiront également l’initiative pour la manche à venir, et les ressources de départ. Juste EX-CEL-LENT ! La phase d’actions est évidement conséquente et demande planification, optimisation et gestion de ressources. Rien qui déstabilisera les habitués du genre. Le déploiement des astronautes sur le cratère est malin car ils seront potentiellement à récupérer en fin de manche pour notre base selon un système de majorité par ligne sur Shackleton. Peu satisfaisant à 2 joueurs, terriblement conflictuel à 4. C’est très ingénieux et si la priorité de résolution de cette phase n’est pas intuitive sur la première partie, on déguste son intelligence sur les suivantes. Je ne vais pas passer par 4 chemins : je n’avais pas pris autant de plaisir sur un jeu du genre depuis Darwin’s Journey. L’explication des règles nécessitent un temps conséquent (environ 30-40 min) mais pour ensuite ne jamais revenir ni sur un détail, ni sur une iconographie. Tout est limpide, facilité par un plateau principal plutôt ergonomique avec tout les rappels des différentes phases. L’utilisation des astronautes est triple selon l’action qu’on souhaite en faire et de leur couleur, évidemment : exploitation du cratère, actions de commandement et action passive sur notre bas. On cherchera la meilleurs optimisations possible pour arriver à nos fins, en tous cas tout faire pour complexifier et faire fructifier une action simple. Sans arriver sur un Analysis Paralysis de l’espace, la réflexion est limpide si tôt qu’on a intégré les tenants et aboutissant des 3 Corporations en jeu. Ces Corporations qu’on a plaisir à découvrir, à moduler, à tester tout comme tenter de les optimiser à fond. Des gains directs, des ressources particulières, des PV de fin de parties… cette variation de gamplay est un délice. On retrouve sur chacune des Objectifs communs à réaliser une fois qui eux ne se renouvellent pas, facilitant pour moi l’exploitation du jeu. Thématiquement on se sent investit, souriant sur les perceptives de conquête spatiale notamment avec le tourisme lunaire qui ne parait finalement plus si illusoire de nos jours. Les règles ne proposent pas cette approche « thématique » chère à mon crédo et à ma pédagogie, c’est pourquoi j’ai eu un énorme plaisir à proposer une vidéo détaillée pour faciliter une première approche à vous joueur. Petit bémol : pas de plateau spécifique pour 2 ce qui diminue l’interaction forcément. Seulement des ojdetifs communs qui seront bloqués. Pour une première partie et comprendre les mécaniques de jeu, ça tourne bien, mais préférez des parties à 3-4 joueurs pour la suite. Personnellement, je n’y jouerai qu’à 3-4 joueurs désormais. Shackleton Base est un pur coup de coeur, qui m’a immédiatement convaincu et séduit malgré une thématique généralement peu sexy. Auteurs de renoms, gameplay varié et programmation au centre du jeu, on tient là un jeu majeur de 2024.
Guilty : Monaco 1955
Avis : Guilty : Monaco 1955 est un jeu d’enquête se déroulant dans la célèbre principauté dans lequel on incarne « Ours » un lieutenant-colonel des Carabiniers de Monaco se voyant confier une mission top...
4/5
Guilty : Monaco 1955
Avis : Guilty : Monaco 1955 est un jeu d’enquête se déroulant dans la célèbre principauté dans lequel on incarne « Ours » un lieutenant-colonel des Carabiniers de Monaco se voyant confier une mission top secrète par le Prince Renier. Il faudra être méthodique, savoir déjouer les fausses pistes et émettre bon nombre d’hypothèses pour démêler le vrai du faux. Le cadre semble historique : une course automobile de F1 qui va devenir mythique se déroule dans la rues au même moment ! Le propos est très interessant, la trame avec des faits historiques et de la fiction bien entrelacée. On retrouve des mécaniques déjà entraperçues dans d’autres jeux d’enquête, avec son lot de cartes à retourner, de cartes temps qui font avancer la trame principale et de combinaison indice / personnage qui pourraient nous faire progresser dans l’enquête. Pourtant, mon retour est mitigé. Je vous explique. Objectivement, Guilty reste une expérience marquante. Le temps est quelque chose de volontairement impactant, où la plupart des cartes dévoilées le font avancer, par des dialogues audio retransmis « en direct » par RMC (Radio Monte Carlo) sur l’évènement principal de ce jour de mai 1955 : le Grand prix de Monaco de F1, mais aussi avec des publicités qui m’ont, en qualité de médecin que je suis, fait des frissons de dégouts (publicités vantant les mérites de la cigarette, de l’alcool, de l’Amiante du Thalidomide … 70 ans de médecine plus tard on voit les dégâts causés par ces propagandes, c’est juste effrayant mais saisissant de réalisme). Mention spéciale à l’introduction digne d’un film des années 50. Malheureusement on peut vite « oublier » de retourner ces cartes, donc conseil : faites-y extrêmement attention. L’écriture est impeccable, les sujets à interroger variés et quelques personnalités connues croiseront notre chemin. L’immersion est totale. Néanmoins, la conclusion nous a clairement laissé sur notre faim. Si on s’attendait à une expérience « experte» de jeu d’enquête, on ne s’attendait pas à galérer autant. Pas de questions progressives, pas d’explication détaillée sur les tenants et aboutissants, on rentre brut de décoffrage dans la révélation des réponses. Pas d’explication sur les fausses pistes non plus, ni sur les conclusion à tirer et quelle(s) carte(s) auraient dû nous mettre sur la piste comme peut le proposer la série Suspect. De ce côté là c’est vraiment frustrant. Et c’est pas la possibilité de fins alternatives qui viennent flatter notre égo… Personnellement : on s’est complètement planté. Mais la fin de l’intrigue reste, je l’avoue mémorable. Objectivement, c’est une expérience incroyable et immersive. Subjectivement, on en ressort frustré. A le refaire, je le ferais à 3-4 joueurs pour discuter des différente hypothèses, pour une plus grande émulation. Malgré tout, j’ai envie de me frotter à la première boîte
Open Season
Avis : Open Season m’a fait passer par plusieurs états. D’abord, j’ai totalement détesté. Première partie à 4 joueurs, c’était long, pénible, alambiqué, essayant de mettre de l’interaction mais ne...
4/5
Open Season
Avis : Open Season m’a fait passer par plusieurs états. D’abord, j’ai totalement détesté. Première partie à 4 joueurs, c’était long, pénible, alambiqué, essayant de mettre de l’interaction mais ne comprenant pas vraiment mon propre plateau de jeu. Puis j’y ai joué à 2 en ligne. 1 fois. 2 fois. 15 fois dans la même journée. Et finalement: le jeu est très bon. Open Season est un jeu de collection de cartes et de combos. Le but est de collectionner au mieux les trophées selon leur faction (5 différentes) et leur attributs (5 différents). Et le gameplay est très particulier. A son tour on choisit 2 cartes d’une rivière de 5 cartes. Une devra être posée sur notre « Mur » de trophées, l’autre dans notre « Stock ». C’est très important à saisir car ce qui fait la force du jeu, mais sachez que la courbe d’apprentissage est assez conséquente. Chaque position du « Mur » a une fonction : voler une carte, réserver une carte, gagner une carte, gagner/perdre des PV … Oui mais voilà. Les activer dépendra de la 2eme carte choisit (celle qu’on met en « stock ») en fonction des similitudes des factions. Et c’est très très malin. Si prendre 2 fois la même carte quand c’est possible est facile à comprendre (je pose et j’active dans le même tour donc), petit à petit tout se complexifie. Car chaque case de notre Mur ne peut contenir certes qu’une seule carte, mais surtout on devra en grande partie en apposer des différentes! Tout sera donc question de choix, les dilemmes sont PER-MA-NENTS. Et le mieux pourrait être d’activer les effets décrit plus haut, pour ne pas stocker qu’une carte, mais plusieurs. En début de notre prochain tour, les cartes stockées sont finalement inclus dans notre palmarès, notre collection, entre figures et attributs. La partie prend fin quand les Murs sont complétés, on procède à une salade de points entre gain/perte de PV, collection, majorité aussi. Après une partie trèèèès mitigé, à 2 c’est excellent. Des choix dithyrambiques à chaque tour, souvent pour comboter, parfois pour faire le moins mauvais. Les façons de scorer sont quand même très nombreuses. Pourtant, une fois bien expliqué, ça roule. Une version « expert » propose un autre plateau, avec moins de tours de jeu, mais encore plus de possibilité notamment grâce a des tablettes à choisir en début de partie qui vont guider et accentuer nos décisions. Si on y arrive. C’est très brain, on navigue entre les factions et les attributs, et le top à mon avis c’est d’y joueur en duel pour mieux scruter les choix adverses. Autant scorer sur ce qui le pénaliserait ! D’autant que prendre certains risques en dévoilant notre plan de jeu sur le scoring qui nous favoriserait nous font gagner des jetons qu’on pourra utiliser pour déclencher des actions. Le timing est important, et l’’analyse primordiale. Le cerveau fume, la concentration permanente. Autant le dire: j’y joue EXCLUSIVEMENT à 2, c’est sa meilleurs configuration. LA DA est vraiment cool: des figures de monstres avec des traits grossiers, et chaque carte est unique! Même les cartes de la même faction avec le même attribut. Top. Par contre gros point noire pour moi concernant la partie graphique. Les cartes et le plateau ton sur ton gâche la lisibilité globale et le plaisir de jeu. Et puis ce vert … Beurk. Beaucoup de pictographique à intégrer mais peu visibles à cause de ça, encore plus avec la version expert. Et le pitch d’afficher des trophées de monstres amène un humour qui pourrait plaire à certains, je suis resté hermétique. Très brain, presque abstrait, Open Season est une excellent jeu de collection qui remue le cerveau.
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