Dans la culture japonaise, les darumas, comme sur les cartes, sont dépourvus d’yeux. On les peint pour remplir un objectif de vie, faire un vœu. Dans ce jeu, tu y mets un dé de 1 pour activer son pouvoir.
Mais qu’est-ce qu’elle dit ?
Daruma est donc un jeu de dés, de combos et de stop ou encore, saupoudré d’une bonne grosse pincée de chance.
???? À ton tour de jeu, tu vas pouvoir lancer tes 8 dés.
Les 1 te permettront de remplir les yeux des darumas et de déclencher leurs pouvoirs. Les 4 te donneront des sueurs froides et seront placés sur le livre des comptes du Tanuki. Et les autres chiffres, eh bien, ils ne te serviront à rien ou presque.
À la fin de ton lancer, soit tu t'arrêtes et tu récupères les cartes darumas avec les deux yeux peints, soit tu peux sacrifier un dé que tu places aussi sur la carte du tanuki, ce qui te permet de relancer tes dés restants.
Attention, si tu as 4 dés de 4, ton tour s’arrête et tu enlèves tous les dés, et hop les darumas te passent sous le nez.
On joue à tour de rôle jusqu’à ce que le compteur de manches fasse un aller-retour sur les jetons autour du Tanuki.
À la fin de la partie, chaque daruma te fait remporter 1 point, ou deux, ou t’en fait perdre selon ta carte objectif.
Tu l’auras compris, celui qui a le plus de points gagne !
Daruma est vraiment une chouette découverte chez nous, rien que la boîte m’a plu. Il est également pensé à l’image de la culture japonaise et c’est plaisant. La mécanique du stop ou encore ne révolutionne pas le jeu mais l’activation des effets des darumas oui. C’est vraiment un savant mélange de « je tente ou pas » à chaque lancer et chaque choix des effets à déclencher.
En bref, Daruma est un jeu à partager autour d’une table avec des sushis et de bons amis !