flag_enflag_fricon_affiliationicon_cardsicon_charactersicon_chequeicon_coeuricon_compteicon_diceicon_discordicon_discounticon_facebookicon_figurineicon_filtericon_gifticon_helmeticon_instagramicon_lightningicon_meeple_circleicon_meepleicon_meeplesicon_megaphoneicon_opinion-bubbleicon_pandaicon_paniericon_pen-brushicon_percenticon_playicon_postmanicon_ribbonicon_rocketicon_rssicon_sherifficon_smiley-negativeicon_smiley-positiveicon_sorticon_staricon_swordsicon_tankicon_threadsicon_thumbsicon_tiktokicon_top-gamesicon_towericon_twitchicon_twittericon_videoicon_wishlisticon_blueskyicon_youtubeillus_bankwireillus_bubbleillus_cashondeliveryillus_cb_paypalillus_CBillus_chequeillus_rating-starslogo_paypallogo_philibert_noel_bonnetlogo_philibert_noel_tabletlogo_philibert_noellogo_philibertlogo_ukoo
Accueil>Jeux d'Histoire>Magazines>Against the Odds>Against the Odds 62 - Strike of the Heron
Against the Odds 62 - Strike of the Heron

Voir la description

Against the Odds 62 - Strike of the Heron

ATO62

NouveautéPrix rouge
Numéro 62 du magazine Against the Odds, contenant le jeu Strike of the Heron.
  • Anglais
  • à partir de 14 ans
  • 3 à 4h
  • 2 joueur(s)

46,95 €

Disponible

Frais de port à partir de 1,95€ - Offerts à partir de 60€ (France métro.)

Ajouter à une liste :

Listes d'envies

Against the Odds 62 - Strike of the Heron

Strike of the Heron – L’approche de Stalingrad explore la percée soudaine et stupéfiante de l’opération Fischreiher (Héron), menée par le XIVe corps blindé allemand et d’autres unités de soutien, jusqu’à la Volga en août 1942.

Cette manœuvre provoqua une onde de choc jusqu’à Staline et ses commandants de Front : jusque-là, les Soviétiques avaient réussi à contenir les assauts allemands, n’accordant qu’une lente progression.

Mais le 23 août, les forces allemandes atteignirent les berges de la Volga à Rynok (juste au nord de Stalingrad) avec une rapidité foudroyante. Ce mouvement coupa court à tout espoir de contre-offensive soviétique sur le flanc gauche allemand au nord — une opération que le STAVKA avait planifiée mais dut abandonner dans l’urgence.

La soudaineté du succès surprit même les Allemands. Comment maintenir, voire exploiter davantage cette brèche ? Les unités du corps blindé avaient subi des pertes importantes et étaient toutes en sous-effectif. Beaucoup de blindés étaient des Panzer II, les autres principalement des Panzer III, et une trentaine de Panzer IV à canon long. Le corridor ouvert n’était large que de quelques kilomètres, mais s’étirait sur plusieurs dizaines de kilomètres de long…

Les Soviétiques réagirent rapidement. Dès le 24 août, ils lancèrent des contre-attaques à la base du corridor allemand, près du Don, sur les flancs droit et gauche. Mais eux aussi étaient affaiblis : leurs divisions avaient tout juste la taille de brigades, avec environ 4 000 hommes. Leurs corps de chars comptaient en moyenne 50 blindés, dont une moitié de chars légers. Ces assauts euphoriques parvinrent brièvement à couper le corridor, forçant les Allemands à assurer leur ravitaillement par voie aérienne. Toutefois, ces attaques virèrent rapidement à une posture défensive désespérée.

Début septembre, une deuxième offensive soviétique en tenaille fut lancée, plus près de Stalingrad, depuis Kotlouban au nord et Orlovka au sud. Elle mobilisa les 24e et 66e armées fraîchement constituées, les 4e, 7e et 16e corps de chars, ainsi que des éléments de la 1re armée de la Garde. Si quelques progrès furent réalisés, l’offensive finit par échouer. Les Soviétiques perdirent 200 chars. Les Allemands, désormais plus confiants, purent lancer leurs opérations majeures en vue d’entrer dans Stalingrad et de s’en emparer.

*Voir nos conditions de Frais de port