My City fait assurément parti de nos meilleures découvertes ludiques de ces dernières années, de celles où on ne s’attendait pas à prendre autant de plaisir. C’est donc avec un mélange d’impatience et d’appréhension qu’on s’est procuré cette nouvelle boîte.
Petit format, petit prix, mais le plaisir est (presque) autant présent. Le jeu propose aux joueurs de construire et faire évoluer leur ville à travers 12 épisodes uniques. Exit les polyominos, ici c’est le lancé de 3 dés qui va définir les bâtiments à placer (dessiner), en les assemblant pour former une configuration et un motif.
Le but est identique: marquer un maximum de point en laissant le moins de cases visibles, recouvrir les rochers, faire des zones de bâtiments de même catégorie les plus grandes possibles… je ne vous divulgache pas les objectifs des 12 grilles successives, mais sachez que le jeu se complexifie au fil des épisodes tout en restant en terrain connu.
Toutes les sensations de My City en format de poche. Il faut avouer que le format est alléchant et rempli totalement sa promesse. C’est rapide, accessible, et rejouable! Mais attention: la où on pouvait anticiper les polyominos nous restants dans la version standard, ici il faudra faire avec le tirage aléatoire des lancers de dés. Les grilles sont claires, nettes, avec les objectifs bien visibles. Un excellent R&W qu’on emportera assurément sur nos prochaines vacances.
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- Les sensations de My City en Roll & Write? Pari réussit
- 12 épisodes à complexité croissante
- Rejouable
- Lisibilité générale de sa carte et des objectifs
- Petit prix
⚠️
- Hasard davantage present
- Les dés peu agréables à manipuler, légers, creux, et avec stickers