« L’initiation » est nécessaire dans ce genre de jeu car enfermer le minotaure dans le « Palais de Cnossos » n’est pas une mince affaire ! Vous devrez apprendre à maîtriser « l’Art du Dédale » sur quelques parties pour en comprendre le fonctionnement. Ce n’est qu’à partir du niveau 4 que vous entamerez « l’Épreuve des Dieux » …
J’aime beaucoup l’expérience Solo qu’offre Dédale, on frôle le casse tête; et 1 partie amène bien souvent à sombrer dans « Les Ombres de l’Éternité » !
Ce que j’ai d’ailleurs beaucoup apprécié, c’est cette distinction du solo à l’aventure coopérative. Celle-ci demande plus de technique et, diviser le paquet en fonction du nombre de joueurs incite à faire autant attention à sa pioche qu’à celle des alliés car oui, ce n’est pas un jeu puzzle comme les autres ! C’est la carte du dessus de votre pioche qui vous guidera sur le type de chemin que vous DEVREZ suivre ! Ouvrez l’oeil, « Les Lumières d’Athéna » vous guideront !
Ce qui fait que je hisse Dédale au dessus des autres jeux du genre, c’est son aspect évolutif et le point que je vais appeler « Le Caprice de Minos ». Plus le niveau, monte et plus le jeu devient Capricieux ! A tel point que certaines parties se joue à la carte près. C’est un avantage comme un inconvénient car finir le niveau relève quelquefois de « La Prouesse Architecturale » ! De plus, en superposant les cartes, il devient quelquefois compliqué de bien les visualiser et seuls le glissement des cartes et « Les Murmures du Labyrinthe » aideront à positionner les prochaines. Mis à part ces petits détails, le jeu réussit très bien son pari ! Le côté addictif y est, chaque niveau est une véritable épreuve et écrase la précédente de sorte à ce chacune puisse vous préparer au Niveau X « La Confrontation Finale » !
Si vous voulez en découvrir plus sur le jeu (notamment sur l’aspect visuel), n’hésitez pas à vous rendre sur mon compte:
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